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19 août 2009 3 19 /08 /août /2009 18:24

Le Christ, on le sait, est en Afrique une importation d'autres continents. Mais aujourd'hui, tout laisse à croire que le continent noir est le berceau du christianisme tant les églises pillulent en Afrique. Sont-elles là pour racheter des âmes ou pour rechercher de l'argent? Se demandent de nombreux intellectuels noirs.

Biens des européens et autres asiatiques se dirigent, de nos jours, vers l'Afrique pour faire fortune dans divers domaines. Des américains, eux, ont trouvé que l'Afrique est un excellent lieu de propagande de leurs réligions. En effet, les africains devenus de plus en plus pauvres ne placent plus aucun espoir en leurs politiciens qui, après plus de quarante ans d'exercice n'arrivent pas à extirper la pauvreté du continent. Incapables de pouvoir faire changer les choses, elles se sont tournées vers Dieu. Malheureusement, l'Etre suprème, à travers ses relais que sont les églises leur reserve des surprises désagréables. Les pasteurs et autres hommes dits de Dieu les utilisent pour s'enrichir. Si vous regardez une des nombreuses chaines de télévisions africaines, vous assisterez à des campagnes publicitaires qui annoncent des séances de prière visant à débarrasser les nègres de tous leurs maux. En fait, l'objectif est d'extorquer de l'argent aux milliers de personnes qui viennent pour chercher à assouvir leur soif de bonheur.

Ainsi donc l'Afrique est la poubelle de tous les autres continents: déchets doxiques, églises toxiques. Et les pasteurs s'enrichissent sur le dos de leurs fidèles-compatriotes. Ils roulent carosses et les fidèles croupissent dans la misère, les yeux tournés vers les Cieux.

Fasse Dieu que le Seigneur, le vrai vienne au sécours des Africains afin qu'une belle aube se lève pour nous africains. Au nom du Christ qui règne pour les siècles ds siècles. Amen!


Par Jean NONYOUH

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19 août 2009 3 19 /08 /août /2009 09:55

Qui ne connait pas ces arbustes qui produisent par saison des fruits très prisés appelés oranges. Leur appelation est indubitablement née de la couleur qu'ellent presentent quand elles arrivent à maturité. Et les oranges d'origines africaines sont très appréciées parce que, par opposition à celles d'ailleurs, elles sont naturelles.


Mais l'Afrique a ses oranges artificielles. Elles sont fabriquées de toutes pièces par des produits cosmétiques. En effet, depuis bien longtemps, ce qui a caractérisé l'Africain, le différenciant ainsi des peuples des autres continents, c'est sa peau d'ébène. Mais aujoud'hui, si vous faites un tour  dans les villes africaines, vous ferez l'amer constat que les femmes noires se comptent au bout des doigts.


Vraiment le roi de la pop, feu Michael Jakson, a fait de nombreux émules sous nos tropiques. Toutes nos femmes aspirent à être claires à défaut d'être blanches. Peu importent les désagréments causés par la dépigmetation dont on parle dans bien des émissions de santé sur les antennes des radios et télévions.  Mais au fait, que cherchent-elles?


De fait, nos soeurs naguère noires estiment que les hommes africains sont quelque peu fatigués des femmes au teint de "ténèbres" . Elles n'ont peut-être pas tort. Puisque de nombreuses gens, on ne sait se fiant à quel devin de quelle contrée, avancent sans réticence que la femme africaine claire est porteuse de chance par opposition à la noire qui, semble-t-il, serait source de malheur.


A la vérité, c'est toujours le fameux complexe des temps anciens qui refait surface. on a honte d'être  noir. Autant les femmes que les hommes. Tout le monde veut être blanc. Peu importe la voie pour y arriver. Mais ce sont les jeunes filles qui battent le record de dépigmentation. Afin de séduire les hommes, elles veulent toutes être oranges avec l'aide des produits cosmétiques.


Et les "femmes oranges" ont envahi le marché. De jour comme de nuit, elles se vendent à l'image des vraies oranges venues des champs. Quelle concurrence déloyale! Et comme, leur nombre a connu ces derniers temps une ascension vertigineuse, elles subissent la loi du marché. Les prix ont beaucoup chuté. Une belle petite fille, avec un teint clair de facade, peut dans certaines villes africaines coûter jusqu'à 25 francs CFA si vous savez bien marchander. Celui qui se rend à Ouagadougou et fait un petit tour à Fada N’Gourma, Kantchari, Tenkodogo, Cinkansé, Zabré, Bitou, Dori et Gorom-Gorom comprendra vite. En Côte d'Ivoire, il y a la rue princess de Yopougon et les sites de travailleuses du sexe de Marcory et Koumassi.


L'expérience ou l'art ne débouchant plus focément à un traval bien payé, chacune se décarcasse pour avoir quelque
chose à manger le soir. Certaines y investissent le peu qu'elles ont pour avoir plus. Avec 200 francs CFA, vous pouvez vous faire un homme à travers une webcam d'un cyber café, un homme qui pourra, si vous avez de la chance vous payer 2000 francs à la fin d'une partie de jambe en l'air.


Pauvre Afrique. Pauvres femmes qui crachent sur leur dignité et qui ont même fait de la prostitution un produit d'exportation. En Europe, elles ont envahi le secteur. Et tout y passe: zoophilie, scatologie, pédophilie.

A l'opposée il existe encore des femmes africaines qui n'ont point le désir de faire murir de force leur corps  mais celui de travailler avec intelligence au bien-être du continent africain. Elles sont à féliciter et à encourager, ces africaines présidentes, ministres, députés, directrices de société. Ces femmes agriculteurs encrées dans la tradition africaine qu'elles ne sont pas prêtes à brader à aucun prix. Que votre dignité soit votre fierté.


Par Jean NONYOUH (+225 08 56 15 67)

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